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Gilad Herzog, un membre du groupe « Ketsitsot chel Lydia » et Pishibum, a enregistré cet exemple en musique sur piano en réponse à l’argument de Universal Music pour la chanson TOY accusant les producteurs de plagiat.

« C’est une séquence d’accords qui est largement utilisée dans la musique pop et rock, et si Universal Music prétend que la chanson a été volée, cela est complètement faux ».

Le musicien va chanter plusieurs musiques en adoptant la même séquence d’accords au piano pour montrer que Toy ou d’autres chanson peuvent avoir cet accord de musique sans forcement plagier qui que ce soit.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Pour rappel, la société du géant américain Universal Music a déposé une lettre d’avertissement aux créateurs de la chanson « Toy », Doron Medley et Stav Beger, affirmant que la chanson qui a gagné à l’Eurovision a été copiée du groupe White Stripes.

Cette révélation jette un grand doute sur la victoire de cette chanson, et met peut-être aussi en péril la tenue du concours de l’Eurovision de la chanson en Israël l’année prochaine. Selon les informations obtenues, l’American Music Corporation Universal a déposé, il y a deux semaines, une lourde lettre d’avertissement avant le procès. Doron Medley va se rendre à Los Angeles pour essayer de résoudre la crise.

La chanson « Toy » aurait été copiée sur celle de « Seven Nation Army » du groupe White Stripes, qui l’a composée en 2003, et a remporté un Grammy Award. Cette chanson est devenue un succès international et l’hymne des fans du monde entier. Le rythme et l’harmonie, ont été copiés selon les avocats pour Universal.

Doron Medley est à Paris aujourd’hui et demain, il se rendra à Los Angeles pour tenter de résoudre la crise. Selon les règles de l’Eurovision, la chanson gagnante doit être originale et ne pas être une copie. Ce plagiat pourrait donc invalider la tenue du concours de l’Eurovision en Israël l’année prochaine.

Doron Medley a déclaré en réponse : « Nous avons été surpris de recevoir une telle lettre, nous la traitons et je crois que dans les deux prochaines semaines la question sera résolue au mieux pour satisfaire les deux parties. » Stav Beger a refusé de commenter.