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La situation en bordure de Gaza est loin d’être calme, les terres brûlent encore et encore, et nul besoin d’aller en bordure de Gaza pour voir le désastre, il est possible à partir de villes et moshavim comme Zimrat, Sderot, ou Yad Mordehai, de regarder les cendres à quelques mètres de nous pendant que les médias du monde censurent cette information.

Le sud du pays est en flamme depuis des semaines, et entre temps, Israel s’inquiète aussi pour les réfugies syriens dans le hauteurs du Golan. Bonté ou stupidité, chacun jugera par lui même.

Une soldate israélienne joue avec une petite fille syrienne en Israël, dans le cadre de l'opération Bon voisin d'aide humanitaire aux Syriens touchés par la guerre civile. Photographie non datée, publiée le 19 juillet 2017. (Crédit : unité des porte-paroles de Tsahal)
Une soldate israélienne joue avec une petite fille syrienne en Israël, dans le cadre de l’opération Bon voisin d’aide humanitaire aux Syriens touchés par la guerre civile. Photographie non datée, publiée le 19 juillet 2017. (Crédit : unité des porte-paroles de Tsahal)

En effet, la situation parmi les réfugiés syriens à la frontière du plateau du Golan est alarmante.

Un nombre de réfugiés syriens de plus en plus élevé se concentrent près de la barrière de sécurité israélienne sur les hauteurs du Golan et a atteint 12 000 ce vendredi, selon les sources israéliennes.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

https://infos-israel.news/soutenez-infos-israel-news/

Les réfugiés sont concentrés près du village syrien Erika Barika, et l’endroit où ils ont installé leurs abris est constitués d’un certain nombre de tentes en tissus qui a déjà reçu le nom du « Camp Erika, le camp Barika. Il est situé à environ 1 200 mètres d’un avant-poste de Tsahal.

Selon nos sources l’armée israélienne a mis en place une boulangerie de pain et pita pour les réfugiés et leur procure aussi de l’ eau. Les services médicaux ne sont fournis que pour les cas urgents. Jeudi, l’armée israélienne a été forcée d’envoyer une importante cargaison de pain à travers la frontière, car la livraison de la boulangerie ne suffisait pas à la demande.

Une soldate israélienne avec un enfant syrien en Israël, dans le cadre de l'opération Bon voisin d'aide humanitaire aux Syriens touchés par la guerre civile. Photographie non datée, publiée le 19 juillet 2017. (Crédit : unité des porte-paroles de Tsahal)
Une soldate israélienne avec un enfant syrien en Israël, dans le cadre de l’opération Bon voisin d’aide humanitaire aux Syriens touchés par la guerre civile. Photographie non datée, publiée le 19 juillet 2017. (Crédit : unité des porte-paroles de Tsahal)
Des soldats israéliens près de la livraison de nourriture de l'opération Bon voisin d'aide humanitaire aux Syriens touchés par la guerre civile. Photographie non datée, publiée le 19 juillet 2017. (Crédit : unité des porte-paroles de Tsahal)
Des soldats israéliens près de la livraison de nourriture de l’opération Bon voisin d’aide humanitaire aux Syriens touchés par la guerre civile. Photographie non datée, publiée le 19 juillet 2017. (Crédit : unité des porte-paroles de Tsahal)

L’armée israélienne maintient le contact avec les officiers et les réfugiés syriens par les forces de l’ ONU et la FNUOD.

Entre temps, la Syrie et la Russie continuent leurs raids de plus en plus proches de nos frontieres. Tsahal et les Etats Unis sont en alerte maximale pour protéger les frontières entre les deux pays et empêcher l’Iran de s’y installer.