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Le Contrôleur d’Etat Yosef Shapira a présenté lundi un rapport sur les violations commises dans le personnel municipal des villes et moshavim. A la veille des élections locales, ce rapport a provoqué l’effet de l’explosion d’une bombe.

À Rishon-le-Zion, le site d’un promoteur d’un grand complexe de parc valant 9 millions de shekels a été vendu sans appel d’offres. Le promoteur, alors encore locataire de ce terrain, a sous-payé un bail de 400 000 shekels et construit deux salles de banquet, dont un étage supplémentaire, qui n’était pas dans le projet.

La municipalité ne voit aucune corruption dans cette transaction et dit que la ville devrait être remerciée pour cela, et pas condamnée, parce que cet accord a simplement « corrigé les erreurs du passé ».

Pour la ville de Petah Tikva, le contrôleur de l’Etat a également découvert la fraude à l’attribution des terres et des bâtiments dans la propriété municipale. Les décisions ont été prises sans considération et sans garanties.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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A Ashdod, des billets pour des événements évalués à 16 millions de shekels ont été distribués gratuitement en l’absence de transparence de cette distribution. Le conseil municipal d’Ashdod rétorque que les billets ont été distribués par le département de la sécurité sociale et étaient destinés aux familles monoparentales et aux personnes handicapées.

Concernant le conseil régional de Binyamin, les fonds du gouvernement ont été trouvés et ont été utilisés dans la construction des avant-postes juifs « illégaux ». Pour ainsi dire, Yosef Shapiro est surpris qu’une main d’état donne de l’argent pour la construction « illégale », et de l’autre démolit ces avant-postes par une décision de justice.

Dans ce contexte, des chèques cadeaux ont été distribués à la municipalité de Modiin pour 320 mille shekels et le voyage à Eilat venant du compte public et qui ne semble pas pour eux, une violation flagrante.

Des problèmes de financement non affecté ont également été identifiés à Osafia, où les autorités locales ont également signé des contrats sans appel d’offres. Au conseil municipal d’Iblin, la fille et le gendre du maire ont été nommés à des postes clés.

La corruption municipale a balayé Israël, il ne faut pas un mois à la société pour ne pas entendre parler de nouvelles accusations et arrestations. Il y a un mois, le maire de Hadera, Zvi Gandelman, a été arrêté. Il est accusé de promouvoir les intérêts des hommes d’affaires pour des pots de vin.