Le brigadier-général (ret) Zvika Fogel, chef de l’ancien Commandement du Sud, a exprimé ce matin (vendredi) une forte opposition au Cabinet d’accepter l’accord de cessez le feu et d’exclure une large opération militaire contre le Hamas.

Dans une interview accordée à Radio 103FM, M. Fogel a déclaré: « Je me retiens d’être honteux. L’armée d’un pays comme le nôtre peut vaincre trois pays arabes en parallèle et ne peut vaincre un ennemi comme le Hamas ? Pour moi, c’est une communication écrite, nous avons enlevé de notre drapeau l’étoile de David et ses bandes bleu, et avons levé un drapeau blanc. ».

Lorsqu’on lui a demandé comment vaincre le Hamas, Fogel a fait valoir qu’il n’y a pas besoin d’occuper la bande de Gaza afin de mettre fin à l’organisation terroriste du Hamas « , Tsahal et le Shin Bet ont une excellente intelligence, ils savent exactement où se trouvent tous les anciens commandants du Hamas, où se trouve leur entrepôt d’armes dans le monde, et ce qui nous reste à faire est d’avoir le courage nécessaire pour le faire, et les sortir. Je ne recommande pas le Fatah, mais je vois qu’il est impossible de continuer à vivre avec cette menace, celui qui détermine mon agenda est Anwar Sinwar ou Ismaïl Haniyeh « .

« Nous sommes un pays souverain », a déclaré Vogel, « et le groupe n’a pas encore réussi à établir son propre directeur de l’État des citoyens de notre routine quotidienne. Ce qui intéresse le premier ministre et son cabinet est de continuer à asseoir sur la chaise politique mais il n’est pas intéressé à notre avenir, mais se souci de leur avenir Et ce n’est pas comme que l’ont dirige un Etat.  »

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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« Je vous dis que Tsahal peut accomplir de telles tâches, il faut juste qu’elle reçoive un ordre et qu’elle exécute. La prochain fois, il faudra les mettre à la porte, ils font une guerre d’usure, et au fil du temps, nous allons nous entourer de plus en plus d’ennemis comme Nasrallah qui a commencé à tisser sa toiles d’araignée car nous ne voulons pas nous battre, et nous ne croyons pas en la justice de notre chemin et la force de notre pays ».