Le service de police, « Lahav 433 », responsable de la lutte contre la criminalité enquête actuellement sur les principaux importateurs israéliens comme le rabbin Yitzhak Cohen Arazi, responsable des produits importés casher.
Selon le correspondant du correspondant de « Kan », Roï Janowski, les importateurs ont parlé à la police de pots-de-vin réguliers avec de l’argent et « en nature » qu’ils devaient payer pendant de nombreuses années à Arazi pour avoir le tampon de Kashrut. Le montant total des pots-de-vin incriminés par le rabbin est mesuré par des centaines de milliers de shekels.
Outre ces témoignages, les enquêteurs vérifient au sein même du rabbinat principal, qui est celui qui permet cette corruption impunie depuis une durée illimitée.
Le rabbin présumé a le pouvoir exclusif de certifier la kashrut des produits importés, il n’est contrôlé par personne et n’est pas responsable. Quand il est malade ou part en vacances, son département cesse de fonctionner et le flux d’importations casher s’arrête, note le journaliste.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :