Un rapport publié dans le quotidien koweïtien Al-Seyassah affirme que les Gardes révolutionnaires iraniens vont utiliser des armes chimiques au nom de Assad au moment voulu. Et lorsque les gouvernement de Assad en donnera l’ordre.
Le leader sadriste irakien politico-militaire du régime syrien et les factions de sécurité sont de plus en désespérée que les rebelles convergent vers Damas, et ils annoncent que le régime n’hésitera pas à utiliser « toute arme » contre l’opposition, selon Al-Seyassah.
Cette faction, dirigée par le général Ali Mamlouk, conseiller spécial de sécurité d’Assad et ancien chef de la Direction générale de la sécurité (GID), mais aussi son adjoint le général Abdel-Fateh Qudsiya, Mohammed Dib Zaitoun, chef du renseignement militaire, Rafiq Shahada, et le général Rustom Ghazali le chef de la Direction de la sécurité politique, pensent qu’une telle initiative pourrait aider à réprimer la révolte une fois pour toutes.
La majorité des chefs militaires de la Syrie et du ministère de la Défense ont mis en garde, cependant, que si l’armée elle-même a recours à des armes chimiques contre les rebelles cette décision peut entrainer la « désintégration complète» du gouvernement de Assad et ils ne veulent pas être directement impliqués dans l’utilisation de telles armes selon la source Al-Seyassah.
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