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Lundi matin, certains détails du meurtre d’une femme à Netanya, hier, ont été révélés. La tragédie s’est produite dans une famille d’immigrants en provenance d’Éthiopie. Un policier de 24 ans, Angavac Vasa, a tiré dans la tête de son épouse, âgée de 36 ans, avec son arme de service.

Trois enfants, âgés de six et sept ans du premier mariage et un autre enfant né il y a deux mois, se trouvaient dans la pièce voisine et ont entendu des bruits de violence et des coups de feu.

Le suspect lui-même a appelé la police et a déclaré qu’il avait tué sa femme. En arrivant sur les lieux, la police a trouvé une femme qui aurait été tuée à la tête par derrière.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Le suspect a fait son service militaire dans la police et est resté sous contrat en tant qu’officier de patrouille.

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Selon des sources policières, le suspect avait appelé la Hotline 100, et a annoncé : « Je l’ai assassinée » et il a attendu que les policiers arrivent chez lui : « Lorsque nous sommes entrés dans l’appartement, nous avons vu une femme de 30 ans inconsciente avec des signes de violences graves sur le haut du corps », a déclaré Oshri Yitzhak, un auxiliaire médical de la MDA.

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Les voisins étaient sous le choc : la famille était agréable et normale :

«Hier encore, ils ont marché avec les enfants. C’est difficile à croire », disent les voisins. Ils soulignent que le couple avait l’air religieux : l’homme portait toujours une kippa. Il y a à peine deux mois, le suspect a écrit un post sur Facebook très touchant à connotation religieuse à l’occasion de l’anniversaire de sa femme. “De longues années avec toi, mon amour !”, a t’il écrit dans le message.

Les témoins de l’arrestation ont déclaré que le détenu était clairement choqué par l’incident, il regardait autour de lui, étonné que des personnes se soient précipitées à son domicile.

Angavac Vasa travaillait dans une école où il donnait des cours supplémentaires à des élèves en retard dans la communauté immigrée éthiopienne.