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Dans un discours prononcé en février dernier par l’ancien rapporteur spécial des Nations unies sur les droits de l’homme dans les territoires palestiniens, Richard Falk, a prouvé une fois de plus qu’il est fâché avec les faits.

Il a affirmé que l’État juif devrait toujours être détruit démographiquement, même si un État palestinien devait être créé aujourd’hui en raison du « droit au retour ».

Il a également déclaré que les Palestiniens avaient « le droit de résister » et son contexte indiquait clairement qu’il signifiait : avec violence.

Comme si cela ne suffisait pas, il a ensuite révélé à quel point il était vraiment antisémite.

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En effet, après les remarques formelles du professeur Falk, un intervenant a demandé si, dans le cas d’Israël, le terme « apartheid » serait approprié, car la population juive d’Israël est elle-même multi-ethnique et multiraciale, comprenant non seulement des Juifs ashkénazes du nord du pays et l’Europe de l’Est, mais les Juifs séfarades et mizrahi des pays méditerranéen et musulman, ainsi que les Juifs éthiopiens et indiens.

Falk a répondu que la loi israélienne traitait tous les Juifs de la même manière, leur conférant les mêmes droits et privilèges que les Palestiniens, tels que le « droit au retour » sacré des Juifs, dont la plupart des ancêtres n’ont jamais habité l’Israël biblique . « Toute la raison d’être d’Israël est d’être un État juif, et ils ne fragmentent pas leur propre identité. »

Falk, en affirmant que la plupart des Juifs ne descendent pas des Juifs de la Bible, est apparemment un croyant du mythe khazar discrédité et ridicule – un mythe tellement commode, qui sert à d’autres antisémites pour délégitimer le droit des Juifs à se définir en tant que peuple.