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Le conseil central de l’OLP s’est réuni lundi à Ramallah sous le slogan « Khan al-Ahmar et la défense des principes nationaux ». Les questions à l’ordre du jour étaient les relations de l’OLP avec la bande de Gaza, Israël et l’administration américaine. Parmi les principales décisions du conseil figure la décision de se retirer des accords de sécurité et de coordination économique avec Israël tant que celui-ci ne reconnaît pas l’état de Palestine. Ce sont des décisions formelles qui nécessitent l’approbation du Comité exécutif de l’OLP.

Pour rappel, c’est Israel qui protège Abbas d’un assassinat de la part du Hamas, et sans cette coordination, sa sécurité est en grand danger.

Certains craignaient que le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, n’annonce l’intensification des sanctions contre le régime du Hamas dans la bande de Gaza, ce qui pourrait donner lieu à une nouvelle série de pourparlers avec Israël, mais le Conseil a décidé que le Hamas avait pleinement assumé ses responsabilités. Les accords qui ont été signés et contrecarrés.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Hier (dimanche) Abbas a déclaré lors de la réunion de l’ assemblée : « Le complot contre le peuple palestinien n’est pas terminé et nous avons déclaré que nous sommes contre » l’accord du siècle « . »

Abou Mazen a également attaqué « des collaborateurs de nos ennemis et des ennemis du peuple palestinien » et a déclaré qu’ils devraient avoir honte d’eux-mêmes. « Jérusalem-Est est notre capitale, la même que celle occupée en 1967 « .  Il a ajouté que l’Autorité palestinienne continuera à verser des indemnités aux terroristes emprisonnés en Israël et aux familles des terroristes tués, et a précisé que ces attaques ne s’arrêteraient pas, malgré les pressions exercées sur Ramallah, puisqu’il s’agissait d’un « sujet sacré ».

« Les salaires de nos chahids, des blessés et de nos prisonniers sont une ligne rouge, ils nous pressent de toutes les manières, nous n’abandonnerons pas, c’est une question sacrée. »

À son avis, l’ensemble de l’entreprise de règlement n’est pas légitime. « Nous sommes à un carrefour très dangereux, peut-être le plus dangereux, la Déclaration Balfour a été mise en œuvre, mais le peuple palestinien ne sera pas en mesure de faire avancer l’accord des 100 », a-t-il déclaré.