Une « source haut placée dans le gouvernement » a informé les journalistes des médias centraux que Benjamin Netanyahu, chef du gouvernement, considérait que la nouvelle opération militaire dans la bande de Gaza n’avait pas de sens et était « prête à payer le prix politique » pour l’éviter. « Il a accumulé assez de capital politique pour le dépenser à Gaza », a déclaré la chaîne de télévision publique Kan, selon la source.

La source a expliqué que l’occupation de Gaza n’a pas de sens, car « personne ne veut l’enlever » en Israël, et une autre opération militaire d’une envergure limitée ne fera rien: « tout reviendra exactement à la situation actuelle ».

La seule chose qui reste à faire est de rechercher un «règlement» qui offrira le silence à Israël en échange de l’amélioration de la situation économique et humanitaire à Gaza. Selon la « source de haut rang », Netanyahu est prêt à accepter « une intervention étrangère », c’est-à-dire de permettre aux États et organisations intéressés de financer le maintien de Gaza dans les conditions du blocus et de la rupture avec l’Autorité palestinienne.

Il y avait même une allusion au fait que le Hamas pourrait recevoir non seulement du carburant pour la centrale, mais également de l’argent pour payer les salaires de ses employés.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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