Après les Etats-Unis, l’Autriche et l’Australie : le Premier ministre Netanyahu a décidé qu’Israël n’adhérerait pas au traité sur l’immigration des Nations unies, qui doit être signé le mois prochain, aux termes duquel le « droit à l’immigration » sera reconnu pour la première fois dans le droit international.
Un traité élaboré au cours des derniers mois et destiné à être appelé « un accord global pour une migration sûre, organisée et régulière » est censé établir pour la première fois de l’histoire le « droit de l’immigration » à un droit international et à appliquer ce droit également aux immigrants pour des raisons économiques.
À la suite de critiques de la part des habitants du sud de Tel Aviv et des partis de droite, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a informé les membres de la faction du Likoud au cours de la partie close de la réunion de la faction d’hier qu’il n’entendait pas autoriser Israël à rejoindre la convention. Les États-Unis, l’Autriche et l’Australie ont également annoncé qu’ils ne soutiendraient pas le traité et ne coopéreraient pas avec lui.
Il convient de noter que dimanche, des représentants du ministère des Affaires étrangères seraient associés à la formulation d’une convention qui offrirait des avantages économiques et des protections aux infiltrés, selon un rapport d’Israël Hayom. Dans le sud de Tel Aviv, le Premier ministre Benjamin Netanyahu est appelé à licencier les personnes impliquées.
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