Deux petits mots :
La parasha de cette semaine, Vayigasah, contient le point culminant de l’épisode dramatique dans lequel Yossef se faisait passer pour le roi d’Égypte et accusait son frère (à leur insu) de tous les types de crimes non commis.
Depuis le début de toute cette histoire, les frères ont été déconcertés. À chaque étape, il y avait plus de questions, plus de confusion : qu’avons-nous fait de mal, pourquoi ce dirigeant se comporte-t-il de façon si hostile ? Beaucoup d’incertitude – ce qui va se passer avec Binyamin, comment Yaakov réagira-t-il lorsque son précieux fils cadet ne reviendra pas… Toute leur confusion est apparue clairement avec deux mots «Ani Yossef» – «Je suis Yossef» – maintenant ça avait du sens !!
La Hafetz Chaim dit que dans notre propre vie, il y a des moments de confusion, des choses qui n’ont pas de sens, apparemment «injustes». «Pourquoi est-ce arrivé», «pourquoi le méritait-il…», «pourquoi ne puis-je pas trouver un emploi», «pourquoi ne pas mériter d’avoir un enfant», «pourquoi ne puis-je pas trouver mon zivoug »”, “Pourquoi suis-je malade”… pourquoi, pourquoi, pourquoi… Toutes nos questions recevront une réponse similaire avec deux mots “Ani Hashem”.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :