L’écrivain Amos Oz est mort, il était un écrivain de talent, mais il souffrait de la haine de son propre pays.
Amos Oz a condamné son peuple et son pays presque toute sa vie et a déclaré que « le droit au retour des Palestiniens est une revendication et non un droit ».
Il a toujours justifié que « la résistance » du peuple palestinien, était justifiée car il voulait être un peuple libre dans « son pays ».
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Amos Oz a aussi appelé l’extrême droite selon ces propos :
« Une secte messianique, impénétrable et cruelle, une bande de gangsters armés, des criminels contre l’humanité, des sadiques, des pogroms et des meurtriers qui ont émergé… d’un coin obscur du judaïsme… des sous-sols de la fureur… afin d’imposer une vie sanguinaire aux autres ».
Mais aussi : « Et nous avons appelé la droite ces groupes néo-nazis qui bénéficient du soutien de nombreux législateurs nationalistes, peut-être même racistes, et de quelques rabbins qui leur donnent une base qui, à mon avis, est pseudo-religieuse « .
Il se disait aussi très « fier de s’appeler un traître et que c’était un badge d’honneur qu’il pouvait porter sur son revers. »
Dans cette vidéo , Amos Oz a déclaré qu’il pensait que :
» L’occupation en cours du peuple palestinien en Cisjordanie et la construction de colonies de peuplement étaient en général immorales et préjudiciables aux intérêts d’Israël ».
L’auteur, qui a reçu des applaudissements intermittents ainsi que de nombreuses huées, a ajouté que « ‘l’expulsion des Palestiniens’ de leurs maisons à Jérusalem et leur ‘remplacement’ par des colons est également mauvais pour Israël. ‘e le dis en tant qu’homme qui aime l’Etat », a-t-il ajouté.
Oz a également affirmé que les Européens avaient tendance à considérer le conflit israélo-palestinien comme un compromis entre le bien et le mal comme à Hollywood.
Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a déclaré: « Amos Oz est l’un des plus grands écrivains à avoir fondé l’État d’Israël. Il a grandement contribué au renouveau de la littérature hébraïque, à travers laquelle il a exprimé avec une grande habileté et une grande émotion des parties importantes de l’expérience israélienne. Ses paroles et ses écrits continueront de nous accompagner pendant de nombreuses années. »
