L’arrestation d’Ahsan et de Sajjad, un couple homosexuel qui a célébré son anniversaire de mariage dans la ville de Jahrom, dans le sud-ouest de l’Iran, et l’intention des ayatollahs de les exécuter en vertu de la loi islamique ont de nouveau soulevé la question des violations des droits de l’homme en Iran et du triste état de la communauté mais surtout d’un secret du dictateur Khameni.
En conséquence, la communauté LGBT en Iran a entamé la lutte, qui est principalement menée dans les réseaux sociaux par le biais de la tactique #Jahromi_homosexuals (#Hahmansengrahi_jharmi) dans le but de faire pression sur les autorités pour les libérer de la détention dans la ville voisine de Shiraz.
De nombreux personnes ont critiqué l’ingérence flagrante du régime dans les affaires privées des citoyens et « les relations personnelles entre deux adultes ». Les surfeurs ont également protesté contre le silence persistant des médias face aux longues peines de prison et aux condamnations à mort prononcées à l’encontre de la communauté LGBT en Iran.
Des critiques ont également été exprimées à propos de la politique discriminatoire adoptée par le régime face à ces questions sensibles. Par exemple, l’histoire du célèbre récitant du Coran, du nom de Said Tusi, qui est proche du dirigeant de Khamenei, et a été citée après qu’il ait été accusé d’exploitation sexuelle de mineurs (2016).
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