L’année dernière, le Congrès américain a adopté un amendement à la loi antiterroriste stipulant que toute entité politique bénéficiant d’une assistance des États-Unis peut être exposée à des poursuites judiciaires devant des tribunaux américains pour avoir participé à des activités terroristes. L’amendement était une réponse à la décision de la Cour suprême qui avait rejeté un méga procès intenté par des citoyens américains contre l’Autorité palestinienne. La cour a jugé que le système juridique américain n’avait pas le pouvoir d’entendre des plaintes contre des entités politiques étrangères.
Eh bien, maintenant, c’est ce qui effraie à juste titre l’Autorité palestinienne qui, ouvertement et conformément à ses lois, verse les salaires d’une armée de terroristes emprisonnés en Israël et à leurs familles.
Ainsi, au cours du week-end, selon Haaretz, l’Autorité palestinienne a informé l’administration Trump qu’elle refuserait d’accepter toute forme d’aide financière des États-Unis à la fin du mois de janvier.
Des millions de dollars d’argent, de formation et d’équipement sont en jeu, ainsi que la coordination régulière entre l’Autorité palestinienne, les FDI et les forces de sécurité américaines.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :