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Cette situation n’est pas connue de tous les médias : les combats entre la Russie et l’Iran dans la ville de Hamat, dans le nord de la Syrie, ne font que s’intensifier avec des armes lourdes, alors que seules des mitrailleuses légères sont montrées dans les médias locaux.

En outre, il est apparu que la confrontation russo-iranienne sur le contrôle de zones clés en Syrie s’intensifiait et s’étendait à d’autres régions du pays.

À ce jour, il existe d’autres endroits importants en Syrie ou ces deux pays sont de plus en plus en désaccord  :

* Les villages chiites de Nabel et d’Al-Zahara dans le nord de la Syrie après que la Russie a ordonné à toutes les milices iraniennes étrangères de stationner dans ce pays désarmé et de restituer leurs armes . Les milices chiites ont refusé la demande et la Russie a l’intention d’envoyer la police militaire et les forces de l’ordre pour imposer ses ordres dans la région. Cela ne finira pas pacifiquement connaissant l’Iran.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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* Dans le district de Swayda, dans le sud de la Syrie, la Russie a ordonné à tous les appareils de renseignement civils du régime d’Assad d’évacuer le nord et de libérer le district de leur présence troublante. L’arrêté d’expulsion intervient après que la Russie eut reçu des Druzes, avec des preuves indiquant que les forces de sécurité syriennes coopéraient avec les éléments de Daesh dans le district oriental, et leurs vendaient des armes et leur fournissaient des informations susceptibles de nuire à la communauté druze avoisinant les 750 000 car ils refusaient d’envoyer leurs fils au service obligatoire dans l’armée syrienne.

* Le nouveau front, ouvert hier, mais passé sous le radar des médias à cause des attaques israéliennes, se trouve dans la région de Damas. La Russie a ordonné à l’armée syrienne de démanteler la plupart des barrages routiers qu’elle avait érigés à Damas, qui perturbent la paix des habitants dans la capitale syrienne .

Des sources syriennes ont déclaré qu’après une réunion entre le major général Maher al-Assad, frère du président et commandant de la 4e Division blindée, et le commandement iranien suprême en Syrie, il avait été décidé non seulement de démanteler les postes de contrôle, mais aussi de les renforcer, contre la volonté des Russes avec des barrages routiers dans la région de Damas.

Cette confrontation, bien sûr, n’a pas échappé à l’attention des Russes dont l’hostilité s’est intensifié  à l’égard de la famille Assad.

Ne soyez pas surpris si les attaques israéliennes contre des cibles iraniennes dans la région de Damas sont faites avec un clin d’œil russe.