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Selon un reportage diffusé sur la chaîne 12, Israël et le Hamas se sont mis d’accord pour un cessez-le-feu de six mois avec médiation égyptienne.

« Le Hamas est déterminé à mettre fin aux troubles sur la barrière frontalière. Les manifestations peuvent avoir lieu dans une zone d’au moins 300 mètres de la frontière.

En outre, les autorités de Gaza ont mis fin aux bombardements et aux incendies criminels commis sur le territoire israélien et aux incidents survenus dans la zone maritime, tels que la «flottille de retour». »

 » En réponse, Israël étend sa zone de pêche à 15 milles marins, s’engage à transférer des médicaments et d’autres aides humanitaires et ouvre des négociations sur la fourniture au secteur d’électricité, de passages des frontières et de financements pouvant être fournis par des sponsors arabes.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Si la paix reste en place dans les six mois, les négociations entreront dans la prochaine étape. Ils discuteront du retour des corps des soldats israéliens, ainsi que de deux civils qui ont erré accidentellement à Gaza et y ont été détenus. »

La Hamas a quant à lui affirmé que ces informations étaient fausses :

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 » Le Hamas a démenti lundi les informations parues dans la presse israélienne d’un accord de trêve conclu entre Israël et l’occupation israélienne pour six mois. Le porte-parole du mouvement Fawzi Barhoum, « Réseau Qods », a souligné le récent cessez-le-feu entre la résistance et l’occupation, parrainé par l’Egypte, les Nations Unies et le texte national sur la mise en œuvre d’accords, soulignant le manque de crédibilité de la circulation des médias hébreux. La chaîne hébraïque a affirmé lundi à midi que l’accord de cessez-le-feu de six mois avait été conclu entre le Hamas et le Jihad islamique, d’une part, et l’occupation israélienne, de l’autre. »

 » Le cessez-le-feu entre la résistance et l’occupation après la récente escalade était en échange de son engagement à respecter les accords antérieurs concernant un nouvel accord. Si tel n’est pas le cas, le cessez le feu ne sera pas apte à continuer ».