La pression des États-Unis sur la Turquie d’annuler l’acquisition de missiles anti-aériens russes S 400 deviennent trop grand jour et ne se concentre pas seulement sur le stress psychologique, mais aussi sur la pression politique et économique militaire, car il y a une lourde menace d’écraser l’économie turque qui est déjà faible.
Les États-Unis ont compliqué le transfert de fourniture d’avions en Turquie, et cherchent des alternatives aux usines turques qui produisent des pièces de rechange pour les avions sans parler de la forte présence des forces aériennes américaines considé-rées comme la plus grande base aérienne américaine du Moyen-Orient.
Dans le même temps, les États-Unis, ainsi que tous les pays de l’UE, ont demandé à ne pas entreprendre de forages expérimentaux au large de Chypre, ce que la Turquie prétend avoir le droit de faire et ont même envoyé leur propre navire de forage pour commencer les travaux.
La Turquie, qui voit dans toutes les directions la main lourde des États-Unis qui la poussent dans un coin, commence à montrer les premiers signes d’un complexe de persécution, transformant des accusations ima-ginaires, voire hallucinatoires, adressées au président américain Trump.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :