Une nouvelle campagne à Tel Aviv demande la fin des transferts d’argents à Gaza avec une affiche de Haniyeh en maillot

Lundi matin, de grands panneaux ressemblant à une carte postale envoyée au public israélien par Haniyeh ont été accrochés à Tel-Aviv à côté du texte : « Shukran Israéli, Ana Bhabak-Ismail  » (Merci Israël, je t’aime – Ismail).

Les panneaux accrochés à trois endroits centraux de Tel Aviv (l’échangeur Shalom, la route Menachem Begin, la rue Hasmonean et l’échangeur La Guardia) constituent le coup d’envoi d’une série d’événements et d’activités pour la campagne de l’Israeli Victory Project, prévue pour les semaines à venir.

Cette campagne s’inscrit dans le contexte de la visite des dirigeants de la branche armée du Hamas en Iran et des transferts de millions de dollars effectués ces derniers jours en faveur de la prochaine guerre du Hamas contre Israël.

L’Israeli Victory Project est un mouvement social dirigé par le Forum du Moyen-Orient, une organisation non politique qui comprend, entre autres, des familles endeuillées, des résidents du sud, des réservistes, des soldats handicapés et plus encore.

Le but de la campagne est d’appeler les élus, l’armée israélienne et toute la société israélienne à passer d’une politique d’apaisement à une politique de victoire et de décision, qui consiste à ce qu’Israël impose la situation sur ses ennemis par des moyens militaires, économiques et politiques.

Cela contraste avec les concessions et la complaisance envers les organisations terroristes et leurs partisans, ainsi qu’avec la pression internationale. L’histoire montre que les conflits ne prennent fin que lorsque l’une des parties est vaincue.

Le conflit avec les Palestiniens et leurs partisans ne prendra fin que lorsque les Palestiniens auront reconnu la défaite et l’échec de la lutte violente. Sans la victoire d’Israël, le conflit n’aura pas de fin.

Greg Roman, directeur du Forum du Moyen-Orient, a déclaré : « Le projet de victoire d’Israël est un mouvement social grandissant, composé d’un public israélien fatigué de gérer le conflit et désirant y mettre fin. Si les Palestiniens n’acceptent aucun arrangement, ils devront accepter les conditions d’Israël par la force. »