Trois semaines après l’exhumation du corps de Nava Elimelech, âgée de 11 ans, la police a retrouvé les boucles d’oreilles de la jeune fille et les a rendues à ses parents. Aucune autre information n’est autorisée sur l’enquête sur le crime mystérieux il ya 37 ans : l’injonction de publier des données sur les progrès de l’enquête reste en vigueur.
Le meurtre de Nava Elimelech est l’un des crimes les plus graves et les plus mystérieux de l’histoire d’Israël.
La fillette a quitté son domicile de la rue Rambam à Bat Yam le 20 mars 1982 à une heure de l’après-midi. Les voisins l’ont vue descendre les escaliers. À la maison, elle a laissé un message indiquant qu’elle s’était adressée à un ami qui vivait à 300 mètres de la rue Yerushalaim.
Personne d’autre n’a vu Nava. L’enfant a été enlevé en plein jour et personne n’a vu comment cela s’est passé.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Deux semaines plus tard, un sac en plastique avec la tête d’une fille morte a été retrouvé sur la plage à Herzliya, le reste du corps ayant été retrouvé dans des emballages sur la plage de Tel Aviv.
Il y avait plusieurs suspects dans l’affaire. Les chiens ont conduit chez un habitant de Bat Yam, David Levy, qui a photographié les filles de l’école où Nava Elimelech a étudié. Mais il n’y avait aucune preuve contre lui. En 1998, deux autres suspects ont été arrêtés, mais il n’existait aucune preuve à leur encontre. En 1983, un résident de la bande de Gaza soupçonné de crime pour des motifs terroristes a été arrêté, mais il a également été libéré.
Au début du mois d’août, la police a fait état de progrès spectaculaires dans les enquêtes sur ce crime mystérieux. Les restes de Nava ont été exhumés pour un nouvel examen médico-légal. La police a demandé au tribunal d’interdire complètement la publication de données sur l’état d’avancement de l’enquête.
La mère de Nava répond aux questions des journalistes avec des plaintes amères concernant les nombreuses années de négligence de l’État face à la tragédie de sa famille. La femme dit que l’État « les traitait comme des chiens » et ne faisait rien pour les aider toutes ces années.
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