Un feu a éclaté dans la région du mont Dov en raison de l’activité des FDI dans la région. Au Liban, ils ont d’abord affirmé que l’armée avait ouvert le feu, mais il a été rapporté par la suite que des bombes allumées lancées pendant la nuit avaient enflammé la végétation dans la région.
Les médias libanais ont rapporté samedi qu’un feu avait éclaté dans la région du mont Dov, affirmant qu’il provenait de tirs piégés des FDI, qui ont toutefois indiqué que l’incendie avait éclaté à la suite d’une « activité des forces de Tsahal dans la région » et que le contrôle des armes à feu avait été contrôlé. L’un des reportages au Liban a indiqué qu’il s’agissait de bombes légères tirées dans la nuit et que l’une d’elles avait atterri sur un poste de la FINUL situé près de la frontière.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Outre le renforcement des forces des blindées et d’artilleries et leur éloignement de la frontière pour éviter les tirs de tireurs d’élite et anti-aériens, les FDI ont également renforcé la vigilance sur la marine israélienne. Dans le cadre de l’évaluation de la situation, les FDI ont annulé un exercice militaire.
Entre temps, l’alerte continue dans le nord du pays et les forces de défense israéliennes ont imposé un couvre feu à la frontière nord. Hier matin, l’espace aérien a été fermé au-dessus de Kiryat Shmona jusqu’au 8 septembre, à la suite de la fermeture de l’espace aérien de la frontière libanaise et des hauteurs du Golan annoncées plus tôt cette semaine.
Le chef d’état-major Aviv Kochavi a visité la région hier et des habitants du village de Rajar, qui se trouvent à la frontière, ont affirmé que l’armée avait fermé la route principale du village et demandé de ne pas quitter leur domicile en cas d’urgence. « Personne n’a été autorisé à entrer. Les FDI voulaient emprunter une autre voie « , ont déclaré les habitants, qui ont également pris contact avec les dignitaires du village, pour intervenir dans la décision de l’armée et avoir la possibilité d’entrer. «
Après l’annonce, les FDI ont constaté que la route n’était bloquée que temporairement en raison d’une évaluation de la situation, soulignant qu’il n’y avait aucune restriction imposée aux résidents eux-mêmes.
Plus tôt cette semaine, les FDI ont imposé un couvre-feu aux brigades de combat du Commandement du Nord, limitant la circulation de véhicules militaires à la frontière, de peur que le Hezbollah ne se venge de l’attaque dans le sud de Beyrouth, attribuée à Israël.
Dans la nuit de samedi à dimanche, deux drones se sont écrasés dans le district de Dahiya, une forteresse du Hezbollah à Beyrouth. Selon des informations au Liban, le premier drone a explosé et 45 minutes plus tard, un autre drone est tombé.
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