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Le journal arabe Al Sharq Al-Ausat , publié à Londres, rapporte que le président français Emmanuel Macron a accordé à Hassan Rouhani 15 milliards de dollars de crédit.

Selon des sources diplomatiques occidentales, Macron souhaite que l’Iran mette un terme à l’enrichissement de l’Iran au-delà de l’accord nucléaire de 2015 de 3,67%. Le président Rouhani accepte fondamentalement de faire des concessions, mais la garde révolutionnaire iranienne l’empêche.

Le CGRI cherche à obtenir la levée complète des sanctions américaines.

Contre le prêt et l’administration américaine, qui espère toujours que l’Iran entamera des négociations sans conditions préalables.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Macron a proposé d’ouvrir la première ligne de crédit de 5 milliards de dollars ce vendredi, date à laquelle l’Iran a menacé d’augmenter l’enrichissement d’uranium à 20%. À ce stade, les Français vont essayer de négocier avec Trump sur le début des négociations.

Dix autres milliards devraient signifier le refus de l’Iran de violer les termes de l’accord et l’ouverture de négociations sur le rôle régional de ce pays. Les États-Unis veulent discuter de la fourniture de missiles iraniens aux pays voisins et l’Iran est prêt à parler de son rôle au Moyen-Orient, sans mentionner son expansion accomplie.

Dans les prochaines heures, le ministre français des Affaires étrangères devrait discuter de la proposition à Washington.

Mardi matin, Rouhani a déclaré à la télévision publique: «Notre réponse à toute négociation avec les États-Unis est négative. Nous poursuivrons les négociations avec les autres parties, mais si nous n’obtenons pas de résultats d’ici jeudi, nous entamerons la troisième étape du retrait de l’accord sur le nucléaire.  »