Le cas du viol collectif d’une jeune fille de 13 ans à Netivot progresse très lentement et la police dispose de nombreuses données contradictoires.
Rappelons-nous qu’à la mi-septembre, les parents de la fille ont porté plainte auprès de la police, affirmant que pendant un certain temps, leur fille avait été soumise à la violence à l’école par des lycéens. 4 adolescents ont été arrêtés puis relâchés en résidence surveillée.
Mercredi, la police a déclaré qu’elle avait pu obtenir de l’ADN sur le lieu du crime dans un abri anti-aérien et qu’elle ferait l’objet d’une enquête pour connaitre si elle appartenait aux suspects.
Il y a une semaine, un enquêteur pour enfants a cessé de parler à la fille à cause de son état mental sévère. La travailleuse sociale qui accompagnait la victime présumée lors des interrogatoires affirme que son témoignage était tout à fait fiable.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :