Alcabaz affirme que le Liban est à la veille de la pire crise économique de son histoire, ou du moins depuis les années 1980, lorsque la guerre civile a détruit le pays. Si l’argent ne circule pas dans le pays, sa monnaie sera dépréciée fortement, ce qui augmentera encore les troubles sociaux dans le pays. Les pays qui ont précédemment contribué à l’économie libanaise refusent actuellement de le faire à cause du Hezbollah et de la corruption gouvernementale dans laquelle tout le monde se soucie.
Le Hezbollah, sous de lourdes sanctions économiques, se cache derrière le gouvernement libanais et menace son gouvernement de ne pas démissionner, faute de quoi, il s’emparera du pays par la force.
L’agence de presse Reuters a interrogé une vingtaine de responsables du gouvernement libanais, de banquiers et des investisseurs qui ont affirmé que si le Liban ne recevait pas d’aide financière de l’étranger, il devrait probablement fortement réduire sa monnaie ou même faire défaut.
Toutefois, les personnes interrogées ont déclaré à Reuters que les pays qui intervenaient financièrement pour sauver le Liban subissaient aussi des crises.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :