La situation difficile en Iran s’explique par le fait que ses autorités ont refusé de croire que le nouveau virus est dangereux pour tout le reste des pays.
À une époque où tous les autres pays avaient déjà fermé les liaisons aériennes avec la Chine et même entre eux, les vols de Pékin à Téhéran continuaient de voler, et des centaines de touristes chinois ont visité les sites.
L’Iran n’a pas annulé les élections législatives et les transports publics, qui sont traditionnellement remplis à pleine capacité.
Les Iraniens ont lancé un flash mob dangereux sur les réseaux sociaux comme preuve de leur foi. Dans la ville de Qom, centre de l’épidémie du virus, les hommes ont léché les portes des mosquées et ont exhorté les autres à le faire. Soit dit en passant, le blogueur iranien qui a lancé cette action est décédé en février d’un coronavirus.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :