Mardi matin, les prix du pétrole ont continué de baisser et le prix du Brent de la mer du Nord dans les contrats à terme sur le London Commodity Exchange a chuté de 26,24% pour atteindre 19,04 $ le baril. Lors de l’appel d’offres pour les contrats de juin, le prix de ce pétrole est tombé en dessous de 19 $. Il s’agit du prix le plus bas en 18 ans.
Hier, le prix du «pétrole léger du Texas» WTI en vertu des contrats de mai a chuté pour la première fois dans l’histoire à des valeurs négatives. Le prix du contrat est tombé à -40 dollars le baril. Cela signifie que l’acheteur est prêt à payer, si seulement il souscrivait du pétrole gratuit.
Dans le contexte de la baisse modérée d’hier des prix du pétrole Brent (WTI a chuté dans une plus grande mesure), les observateurs économiques israéliens ont admis ce matin qu’un effondrement des prix du pétrole n’aurait pas d’impact significatif sur les prix du gaz dans notre pays. La raison en est que dans le bassin méditerranéen, lors du calcul des prix du gaz, le prix de la marque Brent est pris en compte. Lior Gutman, un observateur du journal Calcalist, a écrit dans la matinée que, tout en maintenant le Brent à 26 dollars le baril, on ne peut pas s’attendre à une forte baisse des prix du gaz.
Cependant, du matin au midi, le Brent a perdu un quart de sa valeur. Pour les neuf jours restants jusqu’au 30 avril, les prix du pétrole pourraient encore augmenter. Mais si cela ne se produit pas (dans le contexte d’une crise mondiale sans précédent, ce n’est guère possible), les automobilistes israéliens peuvent économiser beaucoup d’essence.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :