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Après que les passagers se soient plaints de problèmes avec le service d’autobus, le ministre des Transports a écrit un long article sur Facebook, dans lequel il expliquait ce qui devait être toléré.

Selon les directives du ministère de la Santé, le conducteur n’a pas le droit de prendre plus de 20 passagers dans le bus, donc aux arrêts il y a des files de personnes qui attendent, et le bus peut passer s’il est déjà plein.

Betsalel Smotrich a expliqué que rien ne pouvait encore être fait. Il y a 10 000 chauffeurs qui travaillent par roulement, et pour maintenir le niveau de service au niveau d’avant la crise, 45 000 chauffeurs et 30 000 bus sont nécessaires.

Même si il y avait un budget, l’infrastructure ne serait pas suffisante physiquement.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Jusqu’à présent, il est prévu de fusionner les lignes avec des itinéraires pratiquement identiques, de retirer les bus des lignes à faible charge et de «transférer» vers des destinations populaires.

Certains bus ramasseront les passagers non pas aux gares terminales, mais au milieu de l’itinéraire.

Smotrich conseille aux passagers de se réconcilier avec le fait que le trajet aller-retour au travail peut prendre plus de temps et que des transferts imprévus apparaîtront en cours de route et donc d’éviter les transports en commun si possible.

En ce qui concerne le transport le vendredi, qui ne fonctionne pas actuellement, Bezalel Smotrych a exprimé l’espoir qu’il reviendrait «avec l’aide de Dieu». Ainsi que le chemin de fer, qui commencera partiellement à fonctionner à partir du 17 mai.