Le conseil d’administration d’El Al, dirigé par Eli Deeps, devrait se réunir plus tôt cette semaine (et peut-être demain) pour décider de l’avenir de la compagnie et choisir une alternative qui pourrait sauver la compagnie aérienne israélienne qui est entrée dans la période la plus difficile de son histoire à la suite de la crise de Corona.
Dans le cadre de l’aide offerte par l’État à El Al, celui-ci doit entreprendre, en partie, d’importants processus d’efficacité, notamment le licenciement de milliers d’employés, des réductions de salaire importantes pour les cadres supérieurs et la signature d’accords de travail avec quatre secteurs du personnel : EZA (pilotes), EDA (gestionnaire des services de vol), Délégués permanents et temporaires), gestionnaires et maintenance et ingénierie (maintenance, ateliers, techniciens, ingénieurs et ingénieurs).
Selon le premier schéma, qu’El Al a tenté d’avancer même au début de la crise, il s’agira d’obtenir un prêt de 400 millions de dollars d’une garantie bancaire garantie par l’État de 82,5%, ainsi que des garanties à contrôler par la Société, sous réserve du consentement des actionnaires et des débentures de la société de contrôle El Al.
Le plan comprend également une injection de capital de 150 millions de NIS, qui proviendra en partie des propriétaires (38 millions de NIS) et en partie du public par le biais des débentures. C’est un schéma qui préserve le système électrique de l’entreprise et le contrôle de l’aile et de la famille Borovich.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :