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En Israël, la part des tests positifs diminue depuis plusieurs jours. Après 15,1% le 29 septembre, ce taux diminue progressivement chaque jour : le 30, il était de 13,4%, le 1er octobre de 12,1%, le 2 de 11,8% et hier de 11%.

Samedi, seulement 25 000 personnes ont été testées. C’est plus de deux fois moins que la veille (59 000). De ce nombre, 2 557 étaient positifs et seulement 85 depuis minuit, ce qui est bien moins que la moyenne de la semaine dernière.

Selon les données du ministère de la Santé dimanche matin, 12,2% des 697 tests étaient positifs, mais ce n’est que le début et la situation va changer dans un sens ou dans l’autre.

Sur les 70 172 patients actifs, 1 567 sont hospitalisés. C’est 40 patients de plus que le soir du 1er octobre. L’état de 830 d’entre eux est considéré comme grave et 223 sont connectés à des respirateurs. Au 1er octobre, il y avait 817 patients gravement malades et 186 sous assistance respiratoire.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Depuis minuit, pas un seul patient COVID n’est mort dans les hôpitaux et le nombre total de victimes de l’épidémie s’est arrêté à 1682.

Au total, 264 857 personnes ont été malades et sont malades dans le pays, soit environ un Israélien sur 35. À ce rythme, Israël bénéficiera très bientôt de l’immunité collective. On pense qu’elle sera atteint lorsque 20% de la population aura eu une CODID.

Dimanche matin, le directeur général du ministère de la Santé, Hezi Levy, résumait la situation comme suit : « Nous serons prudents, mais on a tendance à ralentir l’incidence, qui s’exprime à la fois en nombre d’infectés et en proportion de tests positifs. »

Si les données épidémiologiques continuent de baisser, il peut être possible d’éviter une augmentation du niveau du confinement. Le Premier ministre Netanyahu convoque aujourd’hui un cabinet pour discuter de la possibilité de resserrer les restrictions. Les proches de Netanyahu disent que le chef du gouvernement préfère le faire avant la fin des fêtes afin de baisser encore les chiffres de la semaine prochaine. Samedi, Netanyahu a déclaré dans un message vidéo sur Facebook que tout dépendrait des chiffres. «Si nous constatons que le blocus ne fonctionne pas suffisamment, nous le renforcerons. Si les indicateurs diminuent, on peut parler de sortie. «