La France a interdit en 2012, le port des voiles musulmans en public, y compris la burka qui recouvre tout le corps d’une femme.
Lors d’un contrôle de son épouse voilée, un mari musulman a agressé un policier et tenté de l’étrangler, selon le procureur de la République de Versailles, Vincent Lesclous. Il a donc été placé en garde à vue à Trappes. Par la suite des centaines de musulmans en furie ont encerclé un poste de la police, et incendié des poubelles à proximité.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Les centaines de personnes ont attaqué samedi soir le poste de police à l’ouest de Paris, capitale de la France, pour protester contre l’amende infligée à une femme musulmane qui portait la burqa. Un des responsables de la police a déclaré que quatre policiers ont été blessés, et six personnes ont été arrêtées à la suite des émeutes. Lors des émeutes des poubelles ont été incendiées et vandalisées ainsi que des arrêts de bus.
Une compagnie de CRS a été appelée en renfort pour protéger le commissariat, alors que la foule avait atteint environ 250 personnes devant le bâtiment, et 400 au total dans le quartier. Les forces de l’ordre ont répondu avec des grenades de dispersion et des gaz lacrymogènes.
Un adolescent de 14 ans a été blessé à l’oeil par un projectile d’origine indéterminée, selon le procureur. Des témoins ont évoqué un tir de flash-ball. Une enquête a été confiée à la police des polices.
Quatre policiers ont été blessés lors de ces violences et six manifestants ont été interpellés, dont l’un a été remis en liberté samedi.
La France, veut marquer la séparation de la religion et de l’Etat, qui a été approuvée, il y a trois ans une loi qui interdit dans les endroits public, le voile et la burka. La loi stipule que les femmes qui portent la burqa en public devront payer une amende de 150 €, ou soit passer par un stage de l’éducation à la citoyenneté selon les principes de la République française. Une seconde loi contre les personnes qui veulent contraindre une femme à se couvrir le visage en public devront s’attendre à une peine de prison d’une durée maximale d’un an et une amende de 30 000 euros et le double quand il s’agit d’un mineur.
Seulement 2.000 femmes françaises ont dû se plier à cette loi, qui a subi de sévères critiques, mais qui a pour but de préserver le principe de la laïcité, qui est l’un des fondements de la République.
« Couvrant le visage, volontairement ou de façon forcée est contraire à l’ordre public», a dit la ministre de la Justice de la France à l’époque, Michèle Alliot Marie. «Si cela a été fait par la force, il y a une violation de la dignité des femmes. Mais même quand elle se couvre le visage volontairement, cela reste contre les idées de la République, qui stipule que tous les citoyens se donnent la main pour le bien commun. »
Cet homme, un français converti à l’islam, a été remis en liberté dans la journée et placé sous contrôle judiciaire. Il sera convoqué prochainement devant un tribunal.
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