Suite à la vidéo courageuse de Arthur concernant l’affaire Sarah Halimi et la décision de la justice française d’accepter l’irresponsabilité de son voisin et tueur justifiant la prise de drogues lors des faits, l’AFP a été contacté par des individus demandant de signaler la vidéo de l’animateur qui a parlé sur son compte personnel.
On peut lire aujourd’hui et en rouge sous sa vidéo : « Contexte manquant. Des médias de vérifications indépendants (à l’AFP) estiment que les informations contenues dans cette publication pourraient induire les gens en erreur ».
En résumé, les rédacteurs indépendants de l’AFP (des juges, des avocats ? ) accusent Arthur d’incitation à se droguer pour tuer et de désinformation. Le rédacteur du nom vague de « AFP FRANCE » attaque le présentateur Arthur en affirmant qu’il aurait dit que l’on peut » tuer sans être jugé juste parce qu’on a fumé ou pris de la drogue ». Il affirme que certaines des affirmations avancées sont trompeuses de la part de l’animateur.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
« Je vais me mettre à fumer des pétards parce qu’il semblerait qu’en France quand tu es sous l’effet de la drogue tu ne vas pas en prison. On ne te juge même pas. Tu peux voler, braquer une banque, tu peux rouer de coups une vieille dame, tu peux lui casser le visage en mille morceaux et la jeter par dessus la fenêtre en la traitant de sale juive, et tu ne vas pas être jugé ».
« On est dans un pays où on peut tuer, après avoir roué de coups et traiter de sale juive une femme, et juste parce qu’on a fumé ou pris de la drogue avant, on n’est pas jugé », a-t-il ajouté.
Selon la justice française, le meurtrier a commis les faits au cours d’une « bouffée délirante » et cas relève de l’article 122-1 du code pénal :
« La personne qui était atteinte, au moment des faits, d’un trouble psychique ou neuropsychique ayant altéré son discernement ou entravé le contrôle de ses actes demeure punissable. Toutefois, la juridiction tient compte de cette circonstance lorsqu’elle détermine la peine et en fixe le régime ».
» Il fait une mauvaise lecture, « rapide et faussée », de la décision de la Cour de cassation.
« Le gouvernement ouvre une nouvelle séquence sécuritaire (…) et, à travers cette affaire, vient remettre en cause ce qui fait l’honneur de la justice française depuis des siècles : on ne juge pas les fous ! », a estimé Me Quinquis selon l’article de l’AFP.
« Pour finir, selon l’AFP, et un récent rapport de la Direction des affaires criminelles et des grâces, l’irresponsabilité pénale pour cause de trouble mental représente moins de 0,5% des dossiers », termine l’AFP.
En effet, Sarah Halimi n’avait pas beaucoup de chance… d’être défendue avec un tel quota, elle fait partie donc de ces cas si rarissimes d’irresponsabilités pénales…
Entre temps, Arthur subi des agressions racistes sur sa page Facebook et cela ne choque personne, espérons qu’il ne terminera pas comme le professeur en France décapité pour un cours sur la liberté d’expression. Longue vie à toi Arthur !
Nous utilisons des cookies sur notre site Web pour vous offrir l'expérience la plus pertinente en mémorisant vos préférences et vos visites répétées. En cliquant sur « Accepter », vous consentez à l'utilisation de TOUS les cookies.
Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience lorsque vous naviguez sur le site Web. Parmi ces cookies, les cookies classés comme nécessaires sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour le fonctionnement des fonctionnalités de base du site Web. Nous utilisons également des cookies tiers qui nous aident à analyser et à comprendre comment vous utilisez ce site Web. Ces cookies ne seront stockés dans votre navigateur qu'avec votre consentement. Vous avez également la possibilité de désactiver ces cookies. Mais la désactivation de certains de ces cookies peut avoir un effet sur votre expérience de navigation.
Les cookies nécessaires sont absolument essentiels au bon fonctionnement du site Web. Cette catégorie comprend uniquement les cookies qui garantissent les fonctionnalités de base et les fonctions de sécurité du site Web. Ces cookies ne stockent aucune information personnelle.