En France, ils sont de plus en plus préoccupés par le nombre croissant d’attaques de terroristes «hybrides» – c’est ainsi qu’ils appellent des personnes mentalement déstabilisées qui combinent l’islam radical avec des crimes criminels.
Vendredi, il y a eu une autre attaque d’un criminel islamiste contre des policiers. Dans une petite ville près de Nantes, dans le nord-ouest de la France, Ndiaga Diyeillet, 39 ans (de nom, sénégalais) a poignardé une policiere à l’entrée d’un poste de police et lui a arraché l’arme des mains. Il a poignardé un autre policier (sauvé par un gilet pare-balles) et s’est enfui dans sa voiture. En chemin, il a perdu le contrôle, a fait un accident, a laissé la voiture au milieu de l’autoroute et s’est enfui.
En cas d’alerte, des centaines de gendarmes ont été levés, et la sécurité des écoles a été renforcée. Ndiaga est entré dans un appartement privé et a ouvert le feu sur les gendarmes depuis le balcon. En fin de compte, il a été mortellement blessé dans une fusillade avec des agents des forces de l’ordre dans un champ à la périphérie de la ville.
Cet homme s’est avéré avoir un profil terroriste typique de ces dernières années : né en France dans une famille africaine en 1981, il a emprunté la voie criminelle dès son plus jeune âge. En 2013, il a été condamné à 8 ans pour vol à main armée. Là, il a été initié à l’islam sous sa forme radicale, et après plusieurs incidents de comportement violent (agressions de fonctionnaires de la prison), le détenu a été diagnostiqué schizophrène et placé à l’isolement.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :