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Un terroriste qui est entré en Israël depuis la bande de Gaza dimanche soir a poignardé et blessé un coordonnateur de la sécurité dans l’une des localité en bordure de Gaza. L’arme du coordinateur de la sécurité, Andrei Dostov, qui a remporté un prix d’excellence dans l’exercice de ses fonctions, a été confisquée par la police il y a environ un an à la suite d’une fausse plainte déposée par des criminels bédouins contre lui à l’Unité des enquêtes policières (IAA d’Israël).

Dostov, le coordinateur de la sécurité du Moshav Avshalom, a empêché une attaque grave dimanche soir en arrêtant à mains nues un terroriste arabe de Gaza armé de couteaux. Dostov a été poignardé à la main et à l’abdomen et a reçu des soins médicaux à l’hôpital.

Un deuxième coordonnateur de la sécurité arrivé sur les lieux a tiré sur le terroriste et l’a neutralisé.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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De manière absurde, le coordinateur de la sécurité Dostov, qui s’est rendu le premier sur les lieux suite à un appel des habitants, a dû faire son travail pendant environ un an maintenant sans armes, à la suite d’une fausse plainte déposée contre lui par des criminels bédouins de la localité de Bir Hadaj.

La semaine dernière seulement, l’appel d’Andrei Dostov pour que son arme lui soit restituée a été rejeté, tout comme l’appel du coordinateur de la sécurité de Sde Nitzan, également en bordure de Gaza.

Le ministère de la Sécurité intérieure a rejeté l’appel au motif de «préoccupation pour la sécurité publique», même si les deux coordonnateurs de la sécurité sortent régulièrement armés en mission policière et militaire.

Le camps Lapid a sauté sur cette occasion en disant que  » le ministère de la Sécurité intérieure qui est dirigé par Amir Ohana (Likud), montre que les craintes à droite de l’effondrement de l’approche rationnelle pour faire face à la menace sécuritaire arabe sous un gouvernement de droite-gauche sont fausses car la sécurité s’est déjà effondrée sous le gouvernement Netanyahu. »

Les deux coordonnateurs de la sécurité, en leur qualité de policiers auxiliaires, ont arrêté l’année dernière des suspects bédouins au cours d’une opération. Un policier arrivé sur les lieux a rapidement infligé des amendes aux suspects pour de graves dysfonctionnements de sécurité découverts dans leur véhicule, ainsi que pour une violation des restrictions du corona. Au cours de leur détention, les suspects ont menacé de se venger des deux policiers auxiliaires et, peu de temps après, ils ont déposé une plainte auprès de l’Unité des enquêtes policières, alléguant qu’ils avaient tiré des armes contre eux.

À la suite de la plainte, les armes personnelles des deux coordonnateurs de la sécurité ont été confisquées.

«Ce soir, il s’avère que le héros exceptionnel du coordinateur de la sécurité n’est pas un danger pour la paix publique, mais un bouclier pour la paix publique», a déclaré Meir Deutsch, directeur général du mouvement Regavim, ajoutant : «Si le terroriste ne l’avait pas rencontré, mais à la place des femmes ou des enfants, cette nuit se serait terminée avec un lourd tribut en sang. J’espère que le ministère de la Sécurité intérieure se remettra de sa stupeur ce soir et annoncera le retour des armes aux coordonnateurs de la sécurité.