Le marché israélien de la casherout s’ouvrira à la concurrence
nous crions après l’esclave.
Le ministre des Finances Avigdor Lieberman et le ministre des Affaires religieuses Matan Kahana ont annoncé l’inclusion d’un plan global visant à ouvrir le marché de la casheroute à la concurrence dans le cadre de la loi sur la régulation économique. L’objectif du plan est d’améliorer les services rendus aux entreprises, d’alléger la charge réglementaire et de réduire le coût de la vie dans le pays (réduction des dépenses alimentaires des ménages).
On s’attend à ce que les mesures envisagées dans le plan conduisent à l’abolition du monopole existant, réduisent la charge pesant à la fois sur les producteurs alimentaires locaux et les établissements de restauration israéliens – hôtels, restaurants et cafés. Cette décision entraînera une réduction directe des coûts de certification, ainsi qu’une réduction du coût des produits casher pour la consommation domestique et la restauration. Les économies s’élèveront à des dizaines de millions de shekels par an.
Selon le plan, le droit de délivrer des certificats casher sera transféré aux organisations privées pour toutes les entreprises sans aucune restriction. Actuellement, les rabbins locaux ont le droit exclusif de certification dans le domaine de la cacherout. Les organismes de certification privés, après avoir obtenu une licence du ministère des Affaires religieuses, pourront opérer librement dans tout le pays.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :