En France aujourd’hui (lundi), c’est le chic suite au meurtre d’un prêtre catholique dans une ville de l’ouest du pays, par un immigré du Rwanda qui a été autorisé à vivre dans son église bien que l’immigré soit suspecté, et même aurait a admis qu’il était l’homme qui a mis le feu à une cathédrale l’année dernière .
L’immigrant qui aurait assassiné le prêtre est celui qui a dénoncé l’acte : il se serait rendu au poste de police de la ville en Vendée, où il a avoué à la police avoir assassiné le prêtre, un homme de 60 ans, identifié comme étant Olivier Maire, . Selon les rapports, le nom du suspect est Emanuel A., mais son âge n’a pas été précisé.
Une source impliquée dans l’enquête a déclaré à Reuters que le suspect avait été impliqué dans l’incendie de la cathédrale de Nantes en juillet 2020. La cathédrale s’est éteinte en moins de deux heures et lui a causé d’importantes destructions telles que celle causée par l’incendie des années plus tôt à Notre Dame, à Paris (qui a été causée par un incendie criminel), mais quelques trésors précieux dont un orgue centenaire qui a survécu à la Révolution française et aux bombes de la Seconde Guerre mondiale a pris feu. Selon l’AFP, le suspect a avoué l’incendie criminel.
Malgré ces aveux, l’AFP a rapporté que le suspect avait ensuite été relâché alors que l’enquête sur son cas était en cours, et qu’il séjournait depuis « plusieurs mois » dans la même église que le prêtre qui l’avait maintenant assassiné. Il a en outre été signalé que la méthode du meurtre n’avait pas encore été clarifiée, mais les enquêteurs ont exclu une attaque au couteau.
Le sénateur français Bruno Rotio, qui représente la ville de Saint-Laurent-sur-Sèvre, est celui qui a révélé le nom du prêtre aux médias locaux, se disant choqué par l’incident. « Je suis choqué par le meurtre horrible du prêtre, qui a pris son tueur sous son aile », a écrit Rotio sur Twitter. « Que fait encore cet homme en France ? », s’est interrogé le législateur, l’un des nombreux membres du parti de droite « républicain » qui devrait briguer la candidature du parti à l’élection présidentielle de l’an prochain .
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :