Plus les détails sont révélés sur les derniers mois de la vie de Yael Melnik, 17 ans, dont le corps a été retrouvé enterré dans le sable sur un chantier de construction à Kiryat Motzkin, plus il devient clair que le meurtre aurait pu être évité. Beaucoup de personnes interrogées dans l’affaire étaient au courant de la « romance » d’un homme adulte et d’une patiente mineure d’une clinique psychiatrique, et un certain nombre de témoins soutiennent que le comportement inapproprié du principal suspect avec d’autres mineurs n’était pas un grand secret pour les autres.
Hier à Or Akiva ont eu lieu les funérailles de Yael Melnik, qui a été retrouvée dans une tombe peu profonde à Kiryat Motzkin et, selon les soupçons des criminologues, elle a été enterrée vivante, morte d’étouffement sous une couche de sable. Il y a aussi un soupçon que la fille a été droguée avec des médicaments ou des stupéfiants. Le principal et unique suspect dans cette affaire est un infirmier d’un hôpital psychiatrique de Tirat Carmel, où la jeune fille avait déjà été soignée.
Comme l’ont dit les parents de mineurs traités dans la même clinique et qui connaissaient Yael, les jeunes patients eux-mêmes et le personnel de la clinique étaient au courant du comportement inapproprié de l’infirmier. Les filles se sont plaintes à plusieurs reprises de lui au personnel, mais aucune mesure n’a été prise.
Les parents déclarent également que de telles choses inacceptables se produisent dans de telles institutions en raison de leur fermeture et de leur manque de transparence pour les parents qui ont beaucoup de difficulté à essayer d’obtenir des réunions plus fréquentes avec les enfants ou des commentaires du personnel.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :