Madhat Saleh, un ancien prisonnier de sécurité dont de nombreux membres de la famille druzes vivent à Majdal Shams, a été tué ce week-end dans un poste militaire près d’Ein Athina. Saleh a été emprisonné pour de graves infractions à la sécurité pendant 12 ans dans une prison israélienne et a été libéré il y a plus de 20 ans. Après sa libération, il a déménagé en Syrie, où il était responsable du plateau du Golan au nom du gouvernement.
Al-Jazeera a affirmé qu’il a été assassiné par des tireurs d’élite israéliens près de la frontière, et les médias syriens ainsi qu’al-Myadin au Liban ont également signalé l’assassinat. En Israël, les rapports étrangers ne sont pas abordés, mais la nouvelle n’a pas non plus été démentie. Même sans référence, on peut supposer qu’une telle action n’aura pas lieu dans le contexte de la clôture des comptes et que ses antécédents en tant que prisonnier de sécurité en Israël ne sont pas pertinents ou d’actualité par rapport aux circonstances de l’incident.
Ces dernières années, Israël a travaillé contre une infrastructure terroriste opérant le long de la frontière, qui est gérée et financée par le Hezbollah, avec des Druzes des communautés proches de la clôture entre les hauteurs du Golan et Israël ou des mercenaires syriens locaux dans la région.
L’Iran et le Hezbollah, chacun dans son propre canal, ont fait la promotion des infrastructures terroristes locales ces dernières années. Il semble que dans le cas en question, le Saleh, pour autant qu’on le sache, a agi davantage sous les auspices des Iraniens, ce qui est tout autre facteur.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :