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La recherche sur l’administration d’un quatrième vaccin COVID-19 est au point mort et pourrait ne pas avancer du tout, a déclaré un porte-parole du Sheba Medical Center de Tel Hashomer.

L’hôpital a demandé l’approbation du quatrième essai au comité d’Helsinki du ministère de la Santé, mais la demande n’a toujours pas été approuvée.

« Comme le quatrième vaccin est maintenant devenu un projet de recherche national et non expérimental, il n’y aura pas de conférence de presse formelle à Sheba », a déclaré jeudi le porte-parole anglophone de l’hôpital via WhatsApp, annulant un événement potentiel pour lancer l’étude dont il a parlé plus tôt.

Déjà dimanche, le porte-parole avait déclaré à la presse que «l’initiative de lancer le quatrième projet de recherche sur la vaccination avec du personnel médical a été reportée jusqu’à nouvel ordre. Je mettrai à jour quand nous irons de l’avant.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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L’équipe de réponse à la pandémie du pays et le conseil consultatif sur la vaccination contre le COVID-19 ont recommandé mardi soir qu’Israël administre une quatrième injection aux personnes les plus à risque, y compris les personnes immunodéprimées, les personnes âgées et le personnel médical. Le ministre de la Santé Nitzan Horowitz a déclaré à KAN News que la campagne commencerait dimanche, bien que le directeur général du ministère de la Santé, Nachman Ash, n’ait pas encore approuvé la décision ni publié de décret formel sur le déroulement de la campagne.

Le Premier ministre Naftali Bennett a également immédiatement célébré la décision et a appelé les fonds de santé et le Home Front Command à préparer la campagne.
Des rapports tard dans la nuit de jeudi ont indiqué que la quatrième vaccination ne pourrait pas être du tout approuvé par Ash en raison de nouvelles données montrant que la variante Omicron provoque une maladie et une hospitalisation moins graves.

Des études menées à la fois au Royaume-Uni et en Afrique du Sud ont maintenant révélé que les personnes qui contractent la variante ont entre 20 et 80 % moins de chances de se retrouver à l’hôpital.

L’hôpital avait déclaré au Post que l’essai visait à déterminer les avantages de recevoir une quatrième dose du vaccin Pfizer contre le coronavirus. L’essai se déroulerait sous la direction du Dr Gili Regev-Yochay, directeur de l’unité d’épidémiologie des maladies infectieuses de l’hôpital, et chercherait à voir dans quelle mesure un vaccin COVID supplémentaire augmente les niveaux d’anticorps d’une personne.

Les volontaires, probablement des employés hospitaliers qui font déjà partie d’une étude d’anticorps en cours à Sheba, seraient testés plusieurs fois avant et après la quatrième dose. Le nombre exact de participants n’avait pas encore été déterminé.
Le porte-parole de Sheba avait déclaré jeudi que l’hôpital « commencerait à vacciner le personnel dimanche dans le cadre des paramètres du gouvernement ».