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Il semble qu’avec l’actuel gouvernement de Bennett, l’étude de la Thora est devenue une plaie de la société et qu’il faut stopper les collelim et l’essence même du judaïsme pour devenir un peuple plus ouvert au monde ? Mais de quel monde parlons nous ? Que sont devenus les paroles de Ben Gourion qui a laissé la place au monde de la Thora en Israël, une protection qui n’est pas forcement militaire mais divine ?

En effet, pour le gouvernement actuel, tout cela n’est pas la priorité car la priorité est l’argent, le travail et l’économie. C’est ce qu’on compris nombreux de juifs religieux qui ne travaillent pas et étudient la Thora. En effet, le nouveau plan d’Avigdor Lieberman a décidé de n’aider que les familles qui travaillent.

En effet, Libermann a réuni jeudi des journalistes pour expliquer le nouveau plan économique du gouvernement et répondre aux questions.

Il a tenté d’expliquer pourquoi les prestations toucheront principalement les jeunes familles de travailleurs et pas les religieux qui ne travaillent pas ( ou ceux qui sont au chômage ?). Selon lui, « il est impossible de plaire à tout le monde », et les prestations sont conçues, en premier lieu, pour améliorer la situation de l’économie du pays et non pas des individus et seulement en second lieu cette économie pourra affecter le niveau des prix.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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« Nous avons réduit le déficit budgétaire à 3,3 %, ce qui dépasse de loin toutes les prévisions les plus brillantes qui aient été », a déclaré Lieberman. Il explique aussi que l’argent de la réforme est venu de cette coupe : « Cela nous permet de réduire le fardeau fiscal des familles qui travaillent. »

Il a également annoncé en mars un nouveau plan de relance économique qui serait effectué « indépendamment du battage médiatique ».

Lieberman a été interrogé sur le fait d’opter pour des crédits de réduction d’impôt uniquement pour les enfants âgés de 6 à 12 ans, ce qui toucherait la classe moyenne ouvrière mais n’aiderait pas les personnes dont les enfants sont d’autres âges ou les familles qui n’atteignent pas le minimum d’impôt sur le revenu. Lieberman a répondu qu’il fallait avant tout aider les « familles lourdes »: « Nous ne donnons pas de chèques courts. Tout le monde ne sera pas content, mais vous ne pouvez rien y faire. » Selon lui, les célibataires supportent moins de dépenses que les familles avec enfants, il n’est donc pas encore prévu de les aider.

Il a évoqué les critiques des ultra-orthodoxes qui ont déjà déclaré que les familles religieuses seraient plongées dans la pauvreté : « La plupart de l’opposition comprend que la direction est bonne, donc je suis prêt à écouter leurs propositions ».

Il a promis que les indépendants ne seront pas laissés pour compte (jusqu’aujourd’hui ils n’ont reçu aucune aide contrairement au gouvernement précèdent), mais les décisions n’ont pas encore été prises, car elles sont prises sur la base de données précises.