Fin janvier 2022, le déficit budgétaire d’Israël était non seulement le plus petit de toute la période de la pandémie, mais il était encore plus petit qu’à la veille de l’émergence du COVID-19.
Selon les données préliminaires du département du budget du ministère des Finances, début février, le déficit budgétaire était de 3,3 % du PIB. En un mois seulement, le déficit a diminué de 1,2 point de pourcentage à 4,5 % du PIB fin décembre.
Par rapport à fin 2020, le déficit a diminué de 8,4 points de pourcentage (11,7 % en décembre 2020). De plus, la situation budgétaire s’est améliorée même par rapport à l’ère pré-Covid : fin 2019, le déficit était d’environ 3,7 % du PIB.
L’amélioration de la situation a été facilitée par une forte augmentation des recettes du Trésor et, d’autre part, une forte diminution des dépenses publiques. L’excédent budgétaire en janvier 2022 s’élevait à 18,5 milliards de shekels. Les revenus ont augmenté à 48 milliards de NIS (+38,9 % par rapport à fin 2021), tandis que les dépenses ont diminué de 15,1 % à 29,5 milliards de NIS.
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