L’ex-directeur du Fonds monétaire international (FMI), Dominique Strauss-Kahn (DSK), n’en finit pas avec la justice, comme il y a plusieurs mois à New York et aujourd’hui en France.

Sa carrière politique a été torpillée depuis que Diallo, « la femme de chambre new-yorkaise », a porter plainte pour viol contre DSK. L’homme d’affaire, trop riche, trop juif, trop puissant est reparti libre en France.

Ce mardi, le cauchemar recommence et une fois de plus il est jugé pour «l’affaire du Carlton», au sein de l’hôtel de luxe à Lille où opérait un important réseau de proxénétisme.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Dsk est 8 autres personnes ont étés convoquées.

Deux des accusés, David Roquet et Fabrice Paszkowski, sont soupçonnés d’avoir organisé au profit de l’ex-administrateur du FMI des rencontres libertines auxquelles participaient des prostituées.

Il risque  pour «complicité de proxénétisme» et «recel d’abus de biens sociaux» une garde à vue, prévue pour 48 heures.

Mais ce qu’on ne dit pas et que DSK a été peut être piégé par son propre défaut, mais ne savait pas que ces femmes étaient des prostitués. Car elles étaient prépayés par M. Roquet, qui dirigeait une filiale du géant Eiffage, et celle de M. Paszkowski, propriétaire d’une société médicale à Lens.

Et pourquoi un tel zèle de la France à la newyorkaise, vu que les deux entrepreneurs ont déclaré que M. Strauss-Kahn ignorait que les femmes en question se prostituaient ?

Est ce un délit…sans parler du coté moral ?

Un des avocats a confirmé cette information :

«Dans ces soirées, on n’est pas forcément habillé. Et je vous défie de distinguer une prostituée nue d’une femme du monde, nue», a-t-il souligné.