Jeudi soir, le président russe s’est entretenu avec le président turc Recep Tayyip Erdogan, qui s’est porté volontaire pour servir de médiateur dans les pourparlers entre la Russie et l’Ukraine. Un dictateur ne peut s’entendre qu’avec un dictateur…
Poutine a expliqué exactement ce que la Russie exige d’un accord de paix avec l’Ukraine.
L’attaché de presse d’Erdogan a partagé avec l’armée de l’air ce qui a été discuté, car il a été témoin des négociations. Il semble que Bennet qui ait été le premier à intervenir comme « intervenant » à la paix entre Poutine et Zelansky, soit mis sur la touche et beaucoup d’analystea miliaires en Israël avaient prévus une telle issue conseillant à Israel et ses dirigeants de ne pas s’immiser dans ce conflit (au beau milieu du shabbat) entre ces deux pays qui n’ont jamais soutenu ouvertement Israël à l’ONU et dont la confiance doit rester limitée et prudente.
Concernant la demande de Poutine, les exigences russes se divisent en deux catégories.
Les quatre premières exigences, selon le représentant de la Turquie, ne sont pas trop difficiles à mettre en œuvre. La principale d’entre elles est la déclaration du statut de neutralité de l’Ukraine et le refus d’adhérer à l’OTAN.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :