À la fin de la semaine, la police israélienne a classé l’affaire contre l’activiste d’extrême gauche Raja Zaatara du parti Hadash, qui a attaqué le député Itamar Ben Gvir à la Knesset il y a environ deux mois. Ceci en dépit de la documentation de l’incident publiée à l’origine.
La lettre générique envoyée à Zaatara indiquait que l’affaire était classée faute de preuves : « Une enquête a été ouverte contre vous, nous avons décidé de ne pas vous poursuivre faute de preuves suffisantes ».
Za’atara a fait la une des journaux en 2018 lorsque sa nomination au poste de maire adjoint de Haïfa a été révoquée après que son soutien au Hamas, au Hezbollah et au mouvement BDS a été révélé sur le site Internet de Makor Rishon. Dans d’autres cas, il a affirmé qu’Israël procédait à un « nettoyage ethnique » similaire à l’organisation terroriste ISIS. Il a refusé de condamner les actions du secrétaire général du Hezbollah Hassan Nasrallah et a opposé son veto à sa participation à des événements d’État tels que les Memorial Days. Depuis lors, il a été à plusieurs reprises dénoncé comme un provocateur.
Un groupe d'Arabes de la liste commune a récemment attaqué l'avocat Ben Gvir et ses hommes du Parti Otzma Yehudit au sein de la Knesset.
Raja Zaatra, de la liste commune avec un symbole du mouvement communiste sur son écharpe, a poussé Ben Gvir.
(🎥 Atara Germain, Makor Rishon) pic.twitter.com/Ovl5h1vUNM— 0404Informations (@0Informations) February 4, 2021
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