Après l’apparition de la mystérieuse nouvelle, publiée par le maire de Ramat Gan, Karmel Shama a-Cohen, sur sa page Facebook, qui faisait état d’un employé honnête qui avait découvert un trésor – un million de shekels dans un bac à sable pour enfants, une discussion animée a éclaté sur la découverte mystérieuse, dont les détails n’ont pas été rapportés. Cependant, la nuit dernière, a-Cohen a eu pitié des citoyens curieux et a raconté ce qui s’était réellement passé.
Comme l’a expliqué le maire, « des millions cachés dans le sable » ont été découverts par Avshalom Raban, directeur de la construction du département de l’éducation de Ramat Gan. La situation était la suivante : Il y a donc des millions qui ont été cachés dans le sable et retrouvés par Avshalom Raban, le directeur de la construction de notre département de l’éducation. La municipalité a décidé de mettre enfin de l’ordre dans les contrats d’entretien de l’environnement urbain, notamment pour le remplacement du sable dans les bacs à sable des crèches de la ville. Selon les documents, la municipalité dépense 820 000 NIS par an pour cela et, il s’est avéré que certains contrats avec des entrepreneurs ont été conclus sans aucun appel d’offres.
En conséquence, il a été décidé de lancer un appel d’offres, comme prévu, et de choisir le fournisseur le plus rentable pour la ville en fonction des résultats. Cependant, peu de temps avant l’appel d’offres, un représentant de l’actuel fournisseur de sable est venu au bureau de Raban et a offert, selon le maire, un pot-de-vin en espèces de 20 000 NIS pour « remporter l’appel d’offres ».
L’honnête fonctionnaire a refusé le pot-de-vin et a informé le maire. Le fournisseur a été retiré de la liste d’appel d’offres et l’incident a été signalé au conseiller juridique. Et au final, l’appel d’offres s’est terminé par un « miracle » – le prix de l’entretien annuel des bacs à sable a soudainement chuté de 820 000 à 390 000 shekels par an. Ainsi, les économies du budget de la ville atteignent plus de deux millions de shekels par cadence.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :