Le Forum juridique international, avec le soutien de 25 organisations juives et pro-israéliennes, a publié cette semaine ses conclusions sur le rapport d’enquête de l’ONU sur l’opération « Gardien des murs ». Selon les auteurs du rapport, intitulé « Fixed Inquiry », la nomination de la membre Sud-Africaine Navanethem Pillay à la tête de l’enquête était une étape claire dans la rédaction préalable des conclusions de la commission.
Navanethem Pillay, qui a une histoire anti-israélienne claire, a déjà exprimé son soutien au mouvement BDS et a rencontré des groupes liés au Front populaire. Elle a également signé une pétition en juin 2020 appelant l’ONU à imposer des sanctions militaires et des embargos à Israël.
Le comité dirigé par Navanethem Pillay devrait publier ses premières conclusions en juin et ses conclusions finales en septembre. Le mandat d’enquête que Navanethem Pillay a reçu du Conseil des droits de l’homme de l’ONU ne mentionne aucunement les organisations terroristes du Hamas et du Jihad islamique, qui sont responsables d’avoir tiré sur des citoyens israéliens plus de 4 500 roquettes, missiles et éclats d’obus lors des événements de mai 2021.
La lettre de mandat du comité fait déjà allusion à l’intention du Conseil des droits de l’homme de présenter Israël comme responsable et à blâmer pour les événements du « gardien des murs » et comme un État d’apartheid. Il a en outre été déclaré que la commission d’enquête pourrait examiner non seulement les événements de la garde du mur mais aussi les « racines du conflit », y compris « l’oppression fondée sur l’identité raciale ».
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