Une soldate des FDI s’est suicidée dans le bureau du commandant dix jours après avoir été violée. À la mi-avril, elle s’est plainte d’avoir été violée lors d’une fête à l’extérieur de la base et se trouvait dans un état d’esprit très difficile.
Dans l’armée, personne n’a répondu à la plainte: un psychologue de l’armée n’a pas été appelé auprès de la jeune fille, l’affaire n’a été transférée ni à la police civile ni à la police militaire. Pire, connaissant sa grave dépression après avoir souffert, le commandement n’a pas restreint son accès aux armes.
La soldate a tenté de tuer une première fois et s’est retrouvée à l’hôpital. Selon le journal « Haaretz », le service psychologique de l’armée s’est limité au fait que le « sanglier » (abréviation pour un psychologue de l’armée) a appelé la jeune fille à l’hôpital et lui a demandé comment allait sa santé. Mais rien n’a été fait pour l’aider à sortir d’une condition difficile.
La situation était aggravée par le fait que ses amies proches étaient à l’étranger à cette époque et qu’elle était complètement seule.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :