Dans la nuit de mardi à mercredi, 26 terroristes ayant du sang sur les mains ont été libérés dans le cadre des négociations visant à un accord de paix entre l’État démocratique d’Israël et les « palestiniens » représentés par l’OLP, une organisation terroriste et considérée comme telle par les États-Unis jusqu’en 1993…
Le parcours de Mahmoud Abbas, l’actuel leader palestinien qui fut durant sa jeunesse le défenseur d’un négationnisme emprunté aux milieux d’extrême droite, n’est d’ailleurs pas sans rappeler celui d’Amin al-Husseini, leader historique du mouvement national palestinien, allié d’Hitler et partisan déclaré de la solution finale. Historiquement parlant, il existe effectivement des accointances entre le nazisme d’une part et le mouvement national palestinien de l’autre.
Lorsque des partisans de la cause palestinienne assassinent des enfants à Toulouse, un soldat à ‘Hevron, des jeunes à Tel Aviv et des familles à Jérusalem, dont la seule faute serait d’appartenir au « peuple de trop » sur Terre, ils se font incontestablement les héritiers du projet nazi.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Au total, 104 criminels dignes de Mohamed Merah et de Youssouf Fofana retrouveront la liberté, leurs familles et une vie tout à fait normale grâce au « processus de paix ». Certains invoquent la « raison d’État », c’est-à-dire la légitimité pour un gouvernement de bafouer le droit au nom d’un principe supérieur autrement dit la paix, pour justifier ces libérations rendues possibles par les pressions internationales et notamment américaines qui pèsent sur le gouvernement Netanyahou. Nous leur répondons qu’aucune paix viable ne sera effective avec le monde arabe dans les circonstances actuelles, à l’heure où ce dernier est plus que jamais miné par ses conflits et divisions internes. Lorsque Mahmoud Abbas se félicite non seulement de la libération de terroristes mais qu’il ose en plus annoncer son refus de signer le moindre accord de paix avec l’État juif tant que les 5000 terroristes encore emprisonnés en Israël ne seront pas libérés, nous pouvons avoir la certitude qu’à défaut d’être un « partenaire sérieux pour une solution à deux États », il n’est rien de moins qu’un ennemi dont la politique est au service du terrorisme. Peut-on envisager une paix sincère avec des interlocuteurs dont les conditions ne portent pas sur l’éducation, la tolérance ou la culture mais sur des libérations de terroristes ? En réalité, les conditions pour parvenir à la paix seront réunies à partir du moment où les agresseurs de toujours demanderont pardon aux familles des victimes du terrorisme ainsi qu’à l’ensemble du peuple d’Israël et qu’ils dédommageront l’État juif pour des décennies de conflits qu’ils lui ont été imposés. Ce jour-là, ils reconnaîtront le droit inaliénable du peuple juif à résider en paix et en sécurité dans sa nation dont les frontières s’étendent de la Méditerranée au Jourdain. En échange de cette reconnaissance officielle et grâce à la normalisation des relations avec le monde arabe, l’État d’Israël participera activement au développement économique et social de la région. Et un tel accord ne serait certainement pas injuste vis-à-vis des « arabes palestiniens » dans la mesure où près de 80% de la superficie historique de la Palestine est déjà sous souveraineté arabe. Deux États pour deux peuples coexisteront alors en harmonie : Israël et la Jordanie.
Il s’agit là d’une utopie qui n’est pas moins crédible que les discours actuels des partisans du « processus de paix ». Si le pragmatisme nous oblige à prendre seulement en considération la situation présente, nous n’avons aucune raison d’être pessimiste pour autant, car ces derniers jours, ce ne sont pas moins de deux nouveaux projets d’envergure visant à renforcer la présence israélienne dans le berceau du peuple juif qui ont été annoncés. 1500 nouveaux appartements seront construits dans certains quartiers de Jérusalem alors que le ministre israélien du logement souhaite doubler le nombre d’habitations dans l’enclave juive située au cœur de ‘Hevron. Entourée par près de 200 000 habitants arabes mais forte d’une protection constante des forces de Tsahal, de 80 logements et d’une population estimée actuellement à moins d’un millier de personnes, la communauté juive de ‘Hevron pourrait doubler en nombre et en infrastructures dans les mois et années à venir ! Jusqu’à présent et depuis le début de l’année 2013, près de 2000 logements ont été construits à travers la Judée et la Samarie, on parle même d’une augmentation qui avoisinerait les 70% sur le premier semestre 2013 ! Ces nombreux chantiers constituent une réponse au terrorisme empreinte de dignité et de réalisme : à l’heure où les prophéties bibliques se concrétisent et que de nombreux quartiers sortent de Terre avec toutes les écoles, les infrastructures et les synagogues nécessaires, le monde arabe et la communauté internationale se retrouvent forcés d’accepter le retour du peuple d’Israël dans sa patrie historique et sa détermination absolue d’y construire son avenir.
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