La saison des plages en Israël est ouverte à partir de début avril et les plages sont pleines. Maariv explique jeudi pourquoi l’eau au large de la côte n’est toujours pas sûre.
Chaque année en hiver, non seulement sur les plages de la mer, mais aussi dans l’eau douce, la saleté et les bactéries s’accumulent. L’eau de pluie déborde du collecteur d’eaux pluviales, et tout s’écoule.
Le principal problème est que dans de nombreuses villes d’Israël, les systèmes d’égout et de drainage se croisent, ce qui fait que, pendant la pluie, les eaux usées perturbent le processus de traitement à la station d’épuration.
De plus, tout au long de l’année, une grande quantité de déchets et de carcasses d’animaux s’accumulent dans les ruisseaux, dès les premières pluies, la boue se déverse dans la mer. Les organisations responsables se réfèrent les unes aux autres, mais rien n’est fait.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
