« Personne ne peut vous aider, et si vous refusez, vous recevrez une grosse punition. Vous êtes dans le collimateur. Si vous parlez à quelqu’un, vous et vos filles seront les prochaines victimes. « Vous avez une dette de 400 000 NIS » nous répètent ‘ils …
Ces menaces, récemment reçues sur WhatsApp par le propriétaire d’un B&B luxueux à Safed, révèlent un rare aperçu de la nouvelle vie des gens de l’industrie du tourisme en Galilée.
La mafia est aussi entrée dans le cercle des entreprises sous le règne des percepteurs de parrainage, qui ne se contentent plus des revenus estimés à des centaines de millions de shekels et même à plusieurs milliards provenant de la fourniture de services de protection aux agriculteurs, aux entrepreneurs en terre, aux propriétaires d’usines et de centres commerciaux, et trouver dans chaque domaine économique une opportunité pour le crime.
« Nous traversons un enfer fou ici », a déclaré le propriétaire des chambres d’hôtes, dont l’identité est cachée , « ça a toujours été, mais pas de manière aussi intense. Ils terrorisent vraiment ici, tuent l’âme. C’est une condamnation à mort. Je ne peux pas quitter la maison après dix heures du soir parce qu’à cause de ces rebuts humains, ma femme et ma famille ont peur d’être seuls à la maison.
Les messages, ainsi qu’un appel téléphonique, qu’il a reçus de la mafia qui obligent les propriétaires de payer pour leur « soi disant protection » ne l’ont pas surpris. « Ils exigent que je les paie parce qu’ils connaissent déjà toutes mes affaires et m’ont fait comprendre qu’ils sont le nouveau gang du quartier », a-t-il déclaré.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
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