Moins d’un jour après la mort de Bar Kalaf, qui s’est immolé par le feu après qu’il n’a pas été reconnu comme handicapé par Tsahal, sa mère fait face à un autre cauchemar. La Hevra Kadisha n’était pas prête à enterrer Kalaf à Netanya et a exigé une somme de 42 000 NIS d’elle, puisque Bar est inscrit au ministère de l’Intérieur à Tel-Aviv, où il vivait il y a environ deux ans. En pratique, la plupart du temps, il était sans abri.
Après avoir demandé des dons pour l’enterrement de son fils – un emplacement pour lui a été trouvé à la dernière minute à Moshav Avihil près de Netanya.
Quand elle reste aux côtés de son fils à l’hôpital : la mère du jeune homme qui s’est immolé par le feu à Netanya prend la parole \\ Photo : Moshe Ben Simhon
Sa mère l’a amené vivre avec elle à Netanya. « Vivre est un grand mot. Quelqu’un au grand cœur lui a donné un entrepôt. Mais il n’y avait pas d’eau là-bas et il ne pouvait se doucher qu’avec un tuyau d’arrosage dans le jardin. C’est comme ça quand on est à la fois pauvre et confronté à des problèmes mentaux. » explique Zeev Yanai, proche de la famille, ajoutant : « La Hevra Kadisha de Netanya peut, comme dans bien des cas, reconnaître qu’il s’agit de quelqu’un qui vit à Netanya et arranger les choses, au lieu d’abuser d’une femme dont le fils s’est immolé par le feu . C’est vraiment simple et c’est déjà arrivé dans le passé. Il faut juste que le désir de faire de la gentillesse soit plus grand que le désir de gagner de l’argent.
« Vous avez dû entendre parler de la mort tragique de mon fils Bar », a partagé la mère en larmes, « il était un guerrier kfir. Je veux lui faire l’honneur d’être enterré dans un morceau de terre dans la nature comme il l’aimait, et comme nous l’a dit la société Kadisha, cela coûte 42 mille shekels et je n’ai pas cet argent en ce moment et je dois l’enterrer. Je demande votre aide pour compléter l’argent que je suis censé leur payer, je n’ai que 13 000 shekels. »
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
